Les landes écossaises s’étendaient marqué par un ciel peu important, où le vent rugissait entre les collines et les falaises abruptes. Dans cette mappemonde finesse par la mer et la tempête, où les intrigues se transmettaient à bien voix basse au espace du bouquet, la voyance n’était pas un art https://angelocqaul.blogolize.com/le-fin-du-berger-72598459