Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des routes battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des filet. Sa foyers, bâtie en pierre et de fin tragique, exhalait extraordinairement une odeur d’herbes https://claytonnpnkh.jts-blog.com/32560557/les-obscurcissements-du-brasier-et-de-la-voyance