Le manoir se dressait, pénible, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une constitution de verre et métallique résistait encore au expériences : une serre oubliée, dissimulée postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://rafaelblubi.p2blogs.com/32714691/le-jardin-des-ombres-statiques