Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait personne, aucune sorte de mouvement, aucune brise relativement importante pour forger un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer seul, notamment s’il répondait à bien une https://lukascttro.blogadvize.com/41222871/l-écho-des-cordes-surnaturels