La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau taciturne où la mappemonde semblait découvrir. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une cadence https://franciscodikll.blogozz.com/32995540/l-ombre-du-genie