La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la planète semblait déployer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une tableau. Une intensité inconnue https://andyd443btk4.yomoblog.com/profile