La gare était plongée dans une brume dense, un tenture épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait continu, observant l’immense machine d’acier funeste qui sifflait doucement, prête à https://reidlaksy.bleepblogs.com/34361558/les-numéros-de-la-destinee