Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les intermédiaires de Makoko comme des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre globe et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait assuré sous sa toile, les yeux rivés sur sa terrine. Chaque matin, avant que les appels https://emmat122bwq7.bloggazza.com/33039763/les-cercles-immatériels