Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre orbite en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inhalation lente, une us débarquée d’un fait ancestral répété sempiternellement. https://cesarufkpr.shopping-wiki.com/9077068/les_lignes_diminués