À clermont-ferrand, dans une existence en accord saturé de réseaux incorporels et d'informations ambiantes, une bouquet étrange s’était mise à tomber n'importe quel nuit. Elle n’avait ni émotion, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation numérique, comme par exemple https://caidenoppnj.bleepblogs.com/34680299/la-bombe-des-prénoms